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|a Dans l'exposé que voici, je me suis interrogé sur la nature de l'activité économique. Elle est réduite à l'échange mercantile par une littérature abondante destinée aux spécialistes et au grand public. Mais elle est, en vérité, beaucoup plus. Ni lòbservation, ni l'étude méthodique ne nous autorisent à nous contenter de la vue appauvrissante que nous impose l'accoutumance aux sociétés marchandes. Les sociétés marchandes de l'Occident européen n'ont jamais prospéré par les seules recettes de l'économie à base de marché. Toujours l'échange qu'elles ont connu a été perméable à la contrainte et au "don". Sous nos yeux, aujourd'hui, elles se transforment d'une façon très manifeste et sur des rythems rapides. Pour soutenir les compétitions de l'Est et satisfaire les aspirations propres le leurs membres, elles controlent leur fonctionnement et rectifient leurs institutions. Elles tentent d'utiliser, conformément à une rationalité économique moins mesquine, toutes les ressources de la contrainte, de l'echange et du "don". Certains observateurs annoncent la "fin de l'Économique" et les débuts de l'homme social. Pour échapper aux facilités dangereuses que risqueraient de nous procurer ces formules, une réflexion et une analyse assez intenses sont indispensables: je les ai tentées. Si j'ai atteint l'objectif que je me suis assigné, le lecteur trouvera dans cet ouvrage: - une critique en profondeur de la société marchande; - une essai d'échapper à sa "mauvaise foi"; - un effort pour jeter les premiers fondements d'une économie généralisée. Les économistes de métier consentiront, peut-etre, à me lire, puisque je les invite à renoncer aux apologies implicites auxquelles ils ont communément recours. Encore ces pages s'adressent-elles, avant tout, aux jeunes hommes. Leur privilège est de jeter autour d'eux un regard neuf. Leur plus haut devoir est de prouver qu'ils se savent responsables et garants de la paixet de la jeunesse du monde. (fuente: prefacio del autor)
|b En la siguiente presentación, me pregunté sobre la naturaleza de la actividad económica. Se reduce al intercambio mercantil por una abundante literatura destinada a especialistas y público en general. Pero es, en verdad, mucho más. Ni la observación ni el estudio metódico nos autorizan a contentarnos con la visión empobrecedora que nos impone la habituación a las sociedades de mercado. Las sociedades mercantiles de Europa occidental nunca han prosperado únicamente con los ingresos de la economía de mercado. Siempre el intercambio que experimentaron fue permeable a la coacción y al "regalo". Ante nuestros ojos, hoy, están cambiando de una manera muy evidente y a pasos vertiginosos. Para apoyar las competencias del Este y satisfacer las aspiraciones específicas de sus miembros, controlan su funcionamiento y rectifican sus instituciones. Intentan utilizar, de acuerdo con una racionalidad económica menos mezquina, todos los recursos de coacción, intercambio y "don". Algunos observadores anuncian el "fin de la Economía" y los comienzos del hombre social. Para escapar de las peligrosas facilidades que estas fórmulas se arriesgarían a darnos, es imprescindible una reflexión y un análisis bastante intensos: las he probado. Si he logrado el objetivo que me propuse, el lector encontrará en este libro: - una crítica profunda de la sociedad de mercado; - un intento de escapar de su "mala fe"; - un esfuerzo por sentar las primeras bases de una economía generalizada. Los economistas profesionales quizás acepten leerme, ya que los invito a renunciar a las disculpas implícitas a las que comúnmente recurren. Una vez más, estas páginas están dirigidas sobre todo a los jóvenes. Su privilegio es echar un nuevo vistazo a su alrededor. Su mayor deber es demostrar que se saben responsables y garantes de la paz y de la juventud del mundo.
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